Le créateur de ce site d'hébergement, Kim Schmitz, connu sous le pseudonyme de Kim Dotcom, a annoncé, mercredi 31 octobre, l'inauguration le 20 janvier d'un nouveau service de téléchargement direct, baptisé "Mega". Ce lancement doit intervenir un an, jour pour jour, après la mise hors ligne du plus populaire des sites de stockage.
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/11/01/avec-mega-kim-dotcom-veut-faire-son-come-back_1784445_651865.html#xtor=AL-32280515
Alors que Megaupload.com était sous juridiction américaine avec le suffixe générique .com, Mega s'éloigne de ce contrôle en optant pour le suffixe national du Gabon, .ga.
Les fichiers transférés seront directement encryptés, depuis le navigateur Internet, par les utilisateurs du service. Mega utilise le système de chiffrement AES. Depuis l'an 2000, l'Advanced Encryption Standard (ou standard de chiffrement avancé) sert de fait de standard de chiffrement. Avec ce système, l'utilisateur dispose d'une "clé", qui le rend responsable des fichiers dont il dispose en ligne.
Outre ce renforcement de la sécurité des données de l'usager, c'est aussi une manière, pour M. Dotcom, de retirer toute responsabilité des fichiers hébergés sur la plateforme. "D'après les conseillers juridiques de M. Dotcom, la seule manière d'arrêter un tel service serait de déclarer la cryptographie, elle-même, illégale", résume le magazine Wired.
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2012/11/01/avec-mega-kim-dotcom-veut-faire-son-come-back_1784445_651865.html#xtor=AL-32280515
Alors que Megaupload.com était sous juridiction américaine avec le suffixe générique .com, Mega s'éloigne de ce contrôle en optant pour le suffixe national du Gabon, .ga.
Les fichiers transférés seront directement encryptés, depuis le navigateur Internet, par les utilisateurs du service. Mega utilise le système de chiffrement AES. Depuis l'an 2000, l'Advanced Encryption Standard (ou standard de chiffrement avancé) sert de fait de standard de chiffrement. Avec ce système, l'utilisateur dispose d'une "clé", qui le rend responsable des fichiers dont il dispose en ligne.
Outre ce renforcement de la sécurité des données de l'usager, c'est aussi une manière, pour M. Dotcom, de retirer toute responsabilité des fichiers hébergés sur la plateforme. "D'après les conseillers juridiques de M. Dotcom, la seule manière d'arrêter un tel service serait de déclarer la cryptographie, elle-même, illégale", résume le magazine Wired.